Le sport est toujours la solution pour se sentir bien dans son corps et dans sa tête. Dans le cadre du challenge Infusion, dans lequel nous vous proposons d'intégrer 15 minutes de bien-être à votre quotidien, nous avons listé cinq suggestions à essayer pour rester actif même lorsque votre emploi du temps est un peu fou ! ville, il est courant que l'utilisation de votre vélo au lieu des transports en commun ou de votre voiture vous prenne moins de temps. Déballez vos baskets et marchez, courez ou faites du vélo ! À l'extérieur Que vous passiez du temps dans un jardin ou dans une forêt, les activités de plein air durent généralement un peu plus longtemps que le simple jogging et présentent de nombreux avantages pour la santé. Au-delà de la dépense énergétique, les spécialistes ont observé que sortir dehors agit aussi comme un excellent remède contre le stress ! Mélanger exercices inactifs et physiques Il ne s'agit pas ici de regarder toutes les saisons de Friends en courant sur un tapis de course, mais plutôt de penser à allier activités sédentaires et vos physiques! Une petite séance d'abdominaux ou vingt minutes d'elliptique pendant le générique d'ouverture de votre série préférée sont des moyens idéaux pour joindre l'utile à l'agréable. c'est pourquoi il est obligatoire de prendre le temps de se dégourdir les jambes. Marchez pendant que vous parlez au téléphone, remplacez votre chaise par un ballon ou programmez des alarmes toutes les heures pour vous rappeler de bouger. Non seulement cela aidera votre concentration, mais vous vous sentirez également mieux lorsque vous passerez beaucoup de temps dans la même position. Épicerie active Cela peut sembler un peu banal, mais il existe de nombreuses façons de convertir vos achats d'épicerie en une activité physique amusante. Si vous pouvez vous y rendre à pied ou à vélo, c'est un bon début ! Sinon, garez votre voiture loin de l'entrée et, en revenant du magasin, entraînez-vous les bras en tenant vous-même les sacs. Quelques biceps fléchissent en accédant à votre véhicule et le travail est fait, sans que vous vous en rendiez compte ! Inspirez-vous de nos autres contenus et choisissez de prendre un moment pour vous chaque jour.

La pandémie de COVID-19 est une crise sans précédent, dont les effets se sont fait sentir à l'échelle mondiale. En mars 2020, 372 757 cas ont été signalés dans 170 pays, suivis d'une augmentation rapide des cas et de la propagation géographique, avec plus de 440 millions de personnes touchées par le COVID-19 dans le monde en février 2022 ; au cours des 2 dernières années, la pandémie a provoqué des perturbations de la santé physique, mentale et émotionnelle, impactant gravement la qualité de vie liée à la santé (HRQOL). La QVLS est la santé physique et mentale perçue d'un individu ou d'un groupe au fil du temps. Il s'agit d'une mesure importante utilisée pour évaluer l'impact des maladies ou des incapacités sur les domaines physique, mental et social de la santé de la population. Un nombre croissant de preuves suggèrent que la pandémie actuelle a eu un impact négatif substantiel sur diverses dimensions de la QVLS, soulignant ainsi la nécessité de donner la priorité aux dimensions de la santé mentale et physique en ces temps difficiles. La littérature antérieure a suggéré que la pratique du yoga et de la méditation peut considérablement améliorer la qualité de vie d'un individu. Le yoga, une pratique corps-esprit qui comprend une combinaison de poses physiques, de respiration régulée et de méditation, est l'une des pratiques les plus populaires au monde pour le bien-être général. Le yoga et les pratiques méditatives sont des interventions efficaces pour les problèmes de santé chroniques, notamment le diabète, les maladies cardiovasculaires, le syndrome métabolique et le cancer. De plus, la pratique est bénéfique pour diminuer l'inflammation et améliorer la fonction du système immunitaire, affectant favorablement la santé mentale en réduisant la dépression et l'anxiété. Bien que les avantages du yoga et de la méditation soient bien établis dans le monde, il existe peu d'études explorant l'interrelation à long terme entre le yoga, la méditation et la santé. Plus précisément, il existe peu de recherches explorant les différences de QVLS entre les méditants et les non-méditants. Le but de cette étude était d'explorer les différences dans 7 domaines de la QVLS (qualité de vie, capacité à adopter un mode de vie sain, capacité à se détendre, fréquence de la nervosité et du stress, gestion du stress quotidien, productivité au travail et rester en bonne santé pendant la pandémie de COVID-19) parmi les personnes qui ont participé à un programme virtuel de yoga et de méditation de 100 jours, aboutissant à l'événement Journée internationale du yoga.Keywordsyoga; méditation (13); qualité de vie liée à la santé (12); Cœur (1); COVID-19 (922); mode de vie sain (1); bien-être (3); qualité de vie (46); stress (55); santé mentale (309); santé psychologique; sondage en ligne (15); étude transversale (4); Bien que les avantages du yoga soient bien établis à travers le monde, il existe peu d'études explorant l'interrelation à long terme entre le yoga, la méditation et la santé. Plus précisément, il existe peu de recherches explorant les différences de qualité de vie liée à la santé (HRQOL) entre les méditants réguliers et les non-méditants. Cette étude a exploré les différences dans 7 domaines de la HRQOL (y compris la qualité de vie, la capacité à adopter un mode de vie sain, la capacité à détente, fréquence de la nervosité et du stress, gestion du stress quotidien, productivité au travail et maintien de la santé pendant la pandémie de COVID-19) parmi les praticiens du yoga et de la méditation. Une enquête transversale en ligne a été distribuée à tous les membres qui a participé à un programme de yoga et de méditation de 100 jours, culminant avec l'événement Journée internationale du yoga, organisé par l'Institut Heartfulness en partenariat avec le Conseil central pour la recherche sur le yoga et la naturopathie, le ministère de l'Ayush, l'Université de yoga SVYASA et l'institut de yoga Patanjali , Inde. Le programme consistait en des séances quotidiennes de yoga virtuel, de méditation et de conférenciers. Les données ont été analysées par le test U non paramétrique de Mann-Whitney et le test de Kruskal-Wallis pour les variables continues et le test du chi carré pour les variables catégorielles. Au total, 3164 participants de 39 pays ont répondu à l'enquête. L'âge moyen était de 33,8 (ET 13,6) ans. La majorité des participants étaient des femmes (n=1643, 52%) et des étudiants (n=1312, 41,5%). La pratique régulière du yoga et de la méditation était associée à un impact positif sur les 7 domaines de la QVLS (Mann-Whitney P<.05 et χ2P<.05). Notamment, les méditants Heartfulness expérimentés (≥ 2 ans) ont rapporté de meilleurs résultats dans tous les domaines de la QVLS par rapport à ceux qui ne pratiquent pas actuellement cette forme de méditation et aux participants ayant ≤ 1 an d'expérience de méditation Heartfulness (P < 0,05). des premières études transversales pour explorer les résultats de la QVLS chez les participants à un programme virtuel de yoga et de méditation de 100 jours. Dans l'ensemble, la pratique du yoga et de la méditation s'est avérée être un outil efficace pour promouvoir la QVLS. La pratique régulière du yoga et de la méditation était associée à des facteurs favorisant la santé et le bien-être, la pratique de la méditation à long terme étant associée à des avantages accrus. Cette étude était de nature transversale et a été menée en tant qu'évaluation de programme. En tant que tel, il était exempté de l'approbation du comité d'examen institutionnel. Cependant, le consentement éclairé et la protection par mot de passe pour la collecte de données ont été inclus. Cette conception d'enquête en ligne a été rapportée en utilisant les lignes directrices CHERRIES (Checklist for Reporting Results of Internet E-Surveys). La participation était volontaire et comprenait la signature d'un formulaire électronique de consentement éclairé avant d'accéder au questionnaire de l'enquête. 1312, 41,47 %). L'âge moyen des participants était de 33,87 (ET 13,61, intervalle 18-80) ans. Sur les 39 pays qui ont participé au programme, la plupart des participants venaient d'Inde (n = 3020, 95,45 %), suivis des États-Unis (n = 29, 0,92 %) et des Émirats arabes unis (n = 17, 0,53 % ). Sur 3164 participants de l'échantillon, 1647 (52,05%) étaient des pratiquants réguliers de yoga et 1517 ont été classés comme pratiquants non réguliers de yoga (47,95%). De plus, 64,89 % (n = 2053) ont déclaré avoir pratiqué la méditation Heartfulness et 35,11 % (n = 1111) n'ont pas pratiqué la méditation Heartfulness. Parmi les praticiens de la méditation Heartfulness, 38,28 % (n = 786) ont déclaré ≤ 1 an de pratique, 59,28 % (n = 1217) avaient pratiqué pendant ≥ 2 ans et 2,44 % (n = 50) des participants ont déclaré ne pas pratiquer actuellement cette forme. de la méditation. Pour conclure, cette étude a montré que la pratique régulière du yoga et de la méditation était associée à des facteurs favorisant la santé et le bien-être, la pratique de la méditation à long terme étant associée à des bénéfices accrus. Cette étude est l'une des premières études transversales à analyser les effets d'un programme virtuel de yoga et de méditation de 100 jours et a 3 conclusions clés. Premièrement, les résultats démographiques suggèrent que la plupart des praticiens sont des femmes et des étudiants/instruits. Nos résultats corroborent ceux d'autres études menées dans plusieurs pays comme le Royaume-Uni, les États-Unis et l'Australie, où les pratiquants de yoga et de méditation étaient principalement des femmes et des personnes instruites. Bien que ces études aient rapporté un âge moyen entre 39 et 41 ans, cette étude, en revanche, avait une population plus jeune avec un âge moyen de 33,8 ans et principalement des étudiants. Ces résultats concordent avec des études récentes dans le cadre indien indiquant que les étudiants et une population plus jeune constituent la plupart des participants aux événements de yoga. Deuxièmement, les participants ont été très engagés tout au long de la période du programme, étant donné que 100 jours de yoga et de méditation représentent un engagement de temps considérable. Un taux de participation moyen notable de 71 jours, avec 53,22 % de participants aux sessions tous les jours pendant 100 jours, suggère que les participants étaient disposés à s'engager dans des activités en ligne pour améliorer leur bien-être. Des recherches limitées existent pour comparer les taux d'engagement des programmes centrés sur les événements de la Journée internationale du yoga avec la littérature précédente. Troisièmement, les résultats examinant l'effet du yoga ont démontré que la pratique régulière avait un impact positif statistiquement significatif sur les 7 domaines de la QVLS. Des résultats similaires ont été rapportés par plusieurs études examinant l'effet du yoga sur la santé mentale et physique. Il existe des preuves accablantes indiquant que la fréquence de la pratique du yoga prédit positivement ses bienfaits pour la santé [35,36,38,41,42]. Une autre découverte importante de cette étude était que la méditation avait un impact positif statistiquement significatif sur tous les domaines HRQOL (P <.05). Fait intéressant, les participants ayant ≥ 2 ans d'expérience ont signalé un impact plus élevé sur tous les domaines de la QVLS par rapport aux participants ayant ≤ 1 an de pratique de la méditation. Les résultats impliquent qu'une pratique soutenue peut augmenter cumulativement les avantages pour le bien-être. Cela contraste avec une étude récente qui n'a trouvé aucune association entre des années de pratique de la méditation et le bien-être mental. Néanmoins, les résultats de cette étude concordent avec la littérature précédente suggérant une corrélation positive entre la perception de la santé, le bien-être et les années de pratique de la méditation. Les informations de données plus spécifiques sont liées à la référence ci-dessous ↓ReferenceThimmapuram, J., Patel, K. , Madhusudhan, D.K., Deshpande, S., Bouderlique, E., Nicolai, V., & Rao, R. (2022). Résultats de la qualité de vie liés à la santé avec la pratique régulière du yoga et de la méditation Heartfulness : résultats d'une étude multinationale et transversale. Recherche formative JMIR, 6(5), e37876.

La promotion de l'exercice physique est une stratégie essentielle pour la promotion de la santé. Cependant, une proportion importante des gains de santé sont perdus en raison de blessures sportives. Les préoccupations de sécurité étant un facteur déterminant dans la décision de pratiquer un sport, la réduction du risque de blessure est également une stratégie essentielle des politiques de santé publique. Une condition préalable aux programmes ciblés est l'évaluation des risques de blessures associés à certaines activités, installations, produits et services. Les statistiques habituelles de santé (décès, sorties d'hôpital, traitements médicaux) ne contiennent pas ce genre d'informations. Afin de pallier cette lacune, 12 pays de l'UE ont mis en place un système de surveillance axé sur les circonstances externes, basé sur des échantillons d'hôpitaux (services A+E) – la base de données européenne sur les blessures (IDB). Il permet des estimations grossières mais comparables des taux d'incidence. Dans le cadre d'un projet européen en cours, une enquête sur les blessures sportives dans l'Union européenne (500 millions d'habitants) a été réalisée, pour la première fois. Selon les définitions du sport de la BID, chaque année, environ 4,5 millions de personnes âgées de 15 ans et plus doivent être traitées dans les hôpitaux de l'UE pour des blessures sportives. Les sports collectifs de ballon représentent 40 % de l'ensemble des blessures sportives hospitalisées, incontestablement en tête par le football (soccer). Les deux tiers des blessures touchent les hommes, bien qu'avec de grandes différences selon les différents types de sport. Les données de la BID permettent également des analyses plus détaillées des mécanismes de blessure. Le potentiel du système de la BID pour guider les programmes de prévention sera également illustré de manière exemplaire.Intégration de la santé• Promotion de la santé et de ses bienfaits par l'activité physique et des programmes éducatifs de promotion de la santé.Garantir la sécurité du sport• Renforcer la sécurité sanitaire des événements sportifs à haute visibilité dans les pays où se déroulent des événements sportifs majeurs sont bien préparés aux problèmes de santé ou de sécurité liés aux événements sportifs et aux rassemblements de masse.• Aider à rendre le sport sûr en prévenant les blessures, l'exclusion sociale et la violence.Activité physique et promotion de la santéL'activité physique fait référence à tous les mouvements, y compris les sports, le cyclisme, le roulage, la marche, les loisirs actifs et le jeu. Cela peut être fait à n'importe quel niveau de compétence et pour le plaisir de tout le monde. Une activité physique régulière aide à prévenir et à traiter les maladies non transmissibles (MNT) telles que les maladies cardiaques, les accidents vasculaires cérébraux, le diabète et les cancers du sein et du côlon. Il aide également à prévenir l'hypertension, le surpoids et l'obésité et peut améliorer la santé mentale, la qualité de vie et le bien-être. Pourtant, une grande partie du monde devient moins active. À mesure que les pays se développent économiquement, les niveaux d'inactivité augmentent. Dans certains pays, ces niveaux peuvent atteindre 70 %, en raison de l'évolution des modes de transport, de l'utilisation accrue de la technologie, des valeurs culturelles et de l'urbanisation. En travaillant en partenariat, l'OMS aide les pays à mettre en œuvre une approche communautaire pour augmenter les niveaux de l'activité physique chez les personnes de tous âges et de toutes capacités. La coordination et les capacités mondiales, régionales et nationales seront renforcées pour répondre aux besoins de soutien technique, d'innovation et d'orientation. L'objectif du plan d'action mondial de l'OMS sur l'activité physique est de réduire l'inactivité physique de 15 % d'ici 2030.

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